Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Le nom de ce blog est sans doute évocateur de notre "nachid el watani" tant décrié par le passé parce que, associé au pouvoir Algérien illégitime. Après des décennies de disettes. Je voudrais faire de cet espace, un coin où tous mes compatriotes et autres amoureux de libertés, de démocratie, ou tout simplement d'histoire pourraient s'exprimer librement. En ce sens, nous vous souhaitons la bienvenue. En hommage à Nacer Hachiche, repose en paix et à bientôt ! Pour garder le contact avec notre chère patrie : http://www.alger-presse.com/index.php/presse-fr


Corruption: L’Algérie, dernière de la classe (source Le Courrier d'Algérie)

Publié par The Algerian Speaker sur 11 Juillet 2013, 09:25am

Catégories : #TCHIPA (Corruption) - srika et tutti quanti

corruption en DZAlgérie est classée parmi les pays les plus corrompus dans le monde. Le constat est dressé par l’ONG Tranparency International.Algérie est classée parmi les pays les plus corrompus dans le monde. Le constat est dressé par l’ONG Tranparency International.
Dans son rapport annuel rendu public ce mardi 9, Tranparency International a épinglé l’Algérie en la classant au 105e rang sur 107 pays concernée par le sondage de cette ONG. Selon le rapport de Transparency International, la corruption s’est généralisée en touchant à tous les secteurs d’activité.
Un avis appuyé par un sondage d’opinion puisque 74% des Algériens pensent que le milieu des affaires est gagné par la corruption, ajoute la même source. Même la justice, censée être un rempart contre ce fléau, se trouve discrédité aux yeux des Algériens comme le pense 72% d’entre eux, indique ce rapport. Pareil pour les autres secteurs. Le constat de Transparency International est le même.
Les services de sécurités, les partis politiques, les parlementaires, les médias, l’éducation et la santé, tous ces secteurs sont minés par la corruption comme l’indique le sondage réalisé par cette ONG. Les institutions religieuses restent les seules épargnées par ce fléau.
Elles sont perçues comme étant corrompues par 15% des Algériens lit-on dans le rapporte de l’ONG. Le baromètre mondial de la corruption de Transparency International est fondé sur les résultats d'un vaste sondage portant sur 114 000 personnes à travers le monde.
Environ 27% des sondés ont avoué avoir distribué des pots-de-vin lors des 12 derniers mois, mais 9 personnes interrogées sur 10 se sont déclarées prêtes à lutter contre la corruption, indique Tranparency.
Ainsi, l’ONG de lutte contre la corruption ne fait que confirmer le rapport rendu public en début de cette semaine par la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH), présidée par maître Farouk Ksentini. «La corruption a pris des proportions éminemment dangereuses.
Elle est pratiquée tout le temps et dans tous les lieux, surtout pour contourner les lourdeurs et les lenteurs bureaucratiques», a indiqué le rapport de la CNCPPDH. Farouk Ksentini a mis en garde contre le risque de voir la corruption «devenir un mécanisme ancré dans les rouages de l’appareil étatique».
Pour Farouk Ksentini, il y deux types de corruption, la petite et la grande. La première est devenue quasiment banale et domine, selon lui, tous les comportements sociaux en Algérie.
L’autre concerne les affaires de grande envergure, dite de grande corruption, celle impliquant des montants imaginaires dans le cadre de transactions internationales par exemple ou de détournement à grande échelle de deniers publics».
Face aux constats alarmants de la CNCPPDH et de Tranparency International sur le phénomène de la corruption qui gangrène pratiquement tous les secteurs d’activité, les pouvoir vont devoir sévir pour réduire un tant soit peu l’ampleur de ce fléau. Cela nécessite une volonté, un engagement et surtout beaucoup de courage politique.
Dans son rapport annuel rendu public ce mardi 9, Tranparency International a épinglé l’Algérie en la classant au 105e rang sur 107 pays concernée par le sondage de cette ONG. Selon le rapport de Transparency International, la corruption s’est généralisée en touchant à tous les secteurs d’activité.
Un avis appuyé par un sondage d’opinion puisque 74% des Algériens pensent que le milieu des affaires est gagné par la corruption, ajoute la même source. Même la justice, censée être un rempart contre ce fléau, se trouve discrédité aux yeux des Algériens comme le pense 72% d’entre eux, indique ce rapport. Pareil pour les autres secteurs. Le constat de Transparency International est le même.
Les services de sécurités, les partis politiques, les parlementaires, les médias, l’éducation et la santé, tous ces secteurs sont minés par la corruption comme l’indique le sondage réalisé par cette ONG. Les institutions religieuses restent les seules épargnées par ce fléau.
Elles sont perçues comme étant corrompues par 15% des Algériens lit-on dans le rapporte de l’ONG. Le baromètre mondial de la corruption de Transparency International est fondé sur les résultats d'un vaste sondage portant sur 114 000 personnes à travers le monde.
Environ 27% des sondés ont avoué avoir distribué des pots-de-vin lors des 12 derniers mois, mais 9 personnes interrogées sur 10 se sont déclarées prêtes à lutter contre la corruption, indique Tranparency.
Ainsi, l’ONG de lutte contre la corruption ne fait que confirmer le rapport rendu public en début de cette semaine par la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH), présidée par maître Farouk Ksentini. «La corruption a pris des proportions éminemment dangereuses.
Elle est pratiquée tout le temps et dans tous les lieux, surtout pour contourner les lourdeurs et les lenteurs bureaucratiques», a indiqué le rapport de la CNCPPDH. Farouk Ksentini a mis en garde contre le risque de voir la corruption «devenir un mécanisme ancré dans les rouages de l’appareil étatique».
Pour Farouk Ksentini, il y deux types de corruption, la petite et la grande. La première est devenue quasiment banale et domine, selon lui, tous les comportements sociaux en Algérie.
L’autre concerne les affaires de grande envergure, dite de grande corruption, celle impliquant des montants imaginaires dans le cadre de transactions internationales par exemple ou de détournement à grande échelle de deniers publics».
Face aux constats alarmants de la CNCPPDH et de Tranparency International sur le phénomène de la corruption qui gangrène pratiquement tous les secteurs d’activité, les pouvoir vont devoir sévir pour réduire un tant soit peu l’ampleur de ce fléau. Cela nécessite une volonté, un engagement et surtout beaucoup de courage politique.
 
 
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents